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Gilou, déjà quelques mots en Capverdiens, trop fort !
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Avec tout ce qu'on leur a demandé d'apporter pour nous et les bateaux copains, leurs vêtements sont seulement dans une valise à main ! |  |
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Nous retournons sur le site de Pedra de Lume. Ce jour là, les couleurs sont différentes, plus roses. Nous mettons au point une jolie figure à 5 branches... |
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|  | c'est quoi le réchauffement de la planète ? |
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lundi 17 : happy birthday to Chantal !
A Palmeira, les restaurants sont fermés... Alors nous achetons des cuisses de poulet qu'Alain, le magicien, se propose si gentiment de transformer en "coq au vin" sur Freya. Un petit délice à bord avec même des cèpes et arrosé de bons vins de la cave de Daam dour ! |
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Un passage à Santa Maria s'impose. Chantal et Gilou étaient impressionnés par la couleur de l'eau et ne s'attendaient pas à trouver une aussi belle plage sur l'île. |
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Pas si difficile une vie de chien... sport et farniente |
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Randonnée vers Buracona mais complètement différente que celle que nous avions faite.
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Grâce à Marc du voilier Saratoga2, nous longeons la côte et découvrons d'autres piscines naturelles. Nous rencontrons des hommes qui cassent des pierres volcaniques pour en faire des pavés utilisés pour les routes. La bande médiane est d'une autre couleur. |
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Nous flânons sur les rochers. L'eau est tellement claire que nous voyons les poissons qui se frottent à la roche, des balistes, des orphies, des daurades. Dommage que nous n'avions pas le fusil ! |
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Au retour de notre ballade, nous découvrons des gros tas de coquillages cassés. La récupération de la chair du "buzio" se fait à coup de marteau. Ensuite, deux jeunes femmes vont les laver dans la mer, c'est très gluant. Nous en achetons 2kg et en avons 3.5 kg. Nous ne pourrons pas tout manger le soir sur Daam dour en compagnie d'Alain et Ute. |
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Comme on n'arrive pas encore à boire l'eau de mer, corvée d'eau. Mais c'est aussi une façon de comprendre comment vit la population. Ici, pas d'eau courante, l'eau circule sur la tête et dans les brouettes alors qu'en France, c'est si simple de gaspiller en tournant un robinet à fond. |
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Le Cap Vert est aussi le pays de la langouste. Nous en achetons douze dans un vivier et demandons à Carlita de nous les préparer. Une fois dégustées, nous sommes surpris de n'en compter que dix !! Adresse à oublier.... |
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 | C'est vite passé quinze jours mais l'important c'est d'en garder un bon...
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|  | Chantal et Gilou ont découvert notre nouvelle vie et ont apprécié les joies du mouillage.
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Nous les accompagnons à l'aéroport et pendant qu'ils enregistraient leurs bagages, nous avons eu un beau cadeau : Césaria Evora est passée devant nous ! Quelle "grande dame" toute en simplicité, réellement l'image qu'elle donne. On aimerait bien, comme dans la chanson de Bernard Lavilliers "elle chante", qu'elle pose sa main sur notre épaule...
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 | |  | | Dans la barre de lecture grise ci-dessus, cliquez sur le petit triangle de gauche pour écouter la chanson... |
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Nous laissons passer le week-end, mettons à jour la lessive et faisons les pleins d'eau en bidonnant.
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 | |  | | Mardi 2 décembre, nous levons l'ancre pour Boa Vista avec Freya qui ne connaît pas l'île. Nous mettons les voiles avec un vent d'Est établi mais enfilons un polaire car le vent est froid. A la VHF, Alain nous raconte toutes leurs misères et demande à Chantal de ne surtout plus dire à bord le mot "- - - - -" (animal à grandes zoreilles) car ils ont la poisse ! La grand voile ne se déroule plus entièrement, les deux GPS se déconnectent, l'ordinateur donne des messages d'erreur, un winch est bloqué et surtout le pilote automatique ne fonctionne plus.... Superstition, quand tu nous tiens ! |
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 | Nous sommes bloqués deux jours à bord car le vent souffle assez fort (35 noeuds) levant par la même occasion du clapot mais le Cap Vert est toujours venté. Nous sommes toujours aussi loin de la plage, mouillé dans 2,40 m d'eau. J'en profite pour mettre à jour le site puisque nous avons assez d'énergie à bord. |
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Dimanche après-midi, nous prenons un aluguer pour aller voir l'épave de Santa Maria. On peut le faire en randonnée mais il est bien tard pour entreprendre cette marche d'environ 18 km aller retour car la nuit tombe vite.
Quel dommage de ne pas en avoir fait profiter les enfants en octobre, cela mérite réellement le détour !
La route est praticable en 4x4. Nous atteignons la grande plage de Boa Esperança et le paysage devient grandiose !
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L'échouage date de 1968, le cargo transportait voitures, fruits et liège. La mer grignote petit à petit, Domi entend des craquements provenant de la carcasse... |
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 | Au départ, l'idée d'aller voir une épave ne nous enchantait pas plus que cela mais elle donne une autre dimension et une autre couleur au paysage. C'est tout simplement magnifique ! La silhouette sur la plage, c'est Domi
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Lundi 8 décembre, nous levons l'ancre vers 17 h pour le mouillage de Tarrafal sur l'île de : | |
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