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C'est déjà la fête à La Paz, on défilera dans les rues très tard ce soir. Demain, jeudi 16 juillet, on marquera le bicentenaire des premiers soulèvements contre la couronne espagnole, qui allaient déboucher plus tard sur l'indépendance des pays d'Amérique latine. Pour l'occasion, les présidents Fernando Lugo du Paraguay, Hugo Chavez du Venezuela et Rafael Correa de l'Equateur ont fait le déplacement. |
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Jeudi 16 juillet Sur une idée de Bernie, nous allons à Cumbre situé à un peu plus d'une heure de La Paz. Merci Bernie, l'endroit est fabuleux, nous sommes à 5200 m d'altitude tout de même, la tête dans les nuages. Avec Christophe, je fais une petite course jusqu'à un sommet mais la récupération est longue à venir, manque d'oxygène... Il fait très très froid là-haut et pourtant le sol est chaud en surface.
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| | Vendredi 17 juillet Journée la plus longue du voyage ! Nous décollons de La Paz à 8h, avec turbulences en survolant d'un peu trop prés à notre goût la montagne. L'avion a une heure et demi de retard. Nous atterrissons à Puerto Suarez à 17h, le temps de récupérer les bagages, faisons notre sortie de Bolivie, prenons un taxi pour Corumba (7 dans une Fiat Uno avec les bagages !) et trouvons le bureau d'immigration brésilien fermé, ouverture demain matin 9 h. Le minibus nous attend avec à son bord un chauffeur et Sandro. Il doit nous conduire à Campo Grande car nous avons notre avion de retour pour Jacaré qui décolle demain à 13 h 30. Sandro en profite pour faire grimper le tarif pour la prise de risque !
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| Nous n'avons pas trop le choix et décidons de parcourir les 400 km qui nous séparent de l'aéroport. Une fois là-bas, nous "réveillons" un fonctionnaire de la Police Fédérale avec sa tête des mauvais jours. Pas question de nous mettre un tampon, "vous êtes des clandestins et passibles de prison, alors demi-tour et faîtes les formalités à Corumba " . L'avion décollera sans nous, le moral est au plus bas ! Nous repartons à la frontière et arrivons pour l'ouverture du bureau de la Police Fédérale qui nous tamponne les passeports. Ensuite, route vers Campo Grande, plus de 1200 km en tout dans la nuit, nous sommes fatigués ! Sur le chemin du retour, nous aurons plusieurs barrages de police avec contrôle de passeports, ouf !
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| Il nous faut trouver des billets de retour pas trop chers. Auprès de la compagnie AZUL, nous trouvons notre bonheur, moitié moins cher que chez TAM. Nous sommes samedi et le prochain vol est mercredi, largement le temps de récupérer.
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| La ville est sans intérêt mais on arrive à passer le temps, coiffeur, internet, visite dans un parc. Mercredi, au musée du son et de l'image, nous apprenons que c'est "l'année de la France au Brésil" et assistons à la projection du film français de 2004, le petit lieutenant.
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| | Le retour se passera très bien, rien à redire sur la compagnie AZUL qui date de mai 2008. L'Embraer 190, avion de construction brésilienne, est très confortable et le service à la hauteur. Nous atterrissons à Récife où nous attend les deux taxis avec notre fidèle Evandro (son tél. 83.8864.7467).
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| | Mais il est temps de retrouver Daam dour à | |
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mise à jour le jeudi 12 juillet 2012 site mis en ligne le 4 septembre 2008. | notre email daamdour@gmail.com |
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