Merci de votre visite

Dakar

Cliquez pour agrandir l'image



Heure GMT (Paris heure d'été + 2 h)
Monnaie : franc CFA (1000 CFA = 10 F soit 1,50 €)



Cliquez pour agrandir l'image
l'approche vers Dakar





Cliquez pour agrandir l'image
Cliquez pour agrandir l'image
trop beau !
Cliquez pour agrandir l'image
au large de l'île de Gorée
Cliquez pour agrandir l'image

Dakar

Après 7 jours de navigation plus ou moins tranquilles en compagnie du voilier Lambarena, nous approchons des côtes de Dakar. Les yeux fermés, nous pourrions deviner que la terre n'est pas loin, toutes les odeurs de l'Afrique nous parviennent déjà comme pour nous envoûter. Nous arrivons  dans la baie de Hann où beaucoup de voiliers sont au mouillage, en face du CVD (cercle de voile de Dakar). Nous sommes accueillis par Eladj, un des passeurs, qui fait la liaison entre le CVD et les bateaux.
Quel contraste saisissant lorsque nous sortons dans la rue, comme si nous avions été "projetés" en Afrique, l'impression est plus brutale quand on arrive par la mer.
Sur la photo, nous sommes au milieu, dans le fond (trouvez la flèche) et au premier plan, c'est le débarcadère que nous prenons plusieurs fois par jour.



Cliquez pour agrandir l'image
l'arrivée du passeur
Cliquez pour agrandir l'image
voilà, c'est l'Afrique...
Cliquez pour agrandir l'image
photo prise de Daam dour au mouillage


Cliquez pour agrandir l'image

Le lendemain, nous mangeons notre 1er "Tiep" "bou" "diène" qui veut dire "riz" "au" "poisson", avec pour chacun une cuiller pour picorer dans le plat. Un petit restaurant apporte les plats au CVD, c'est bien pratique et pour un prix plus que modeste. 
Cliquez pour agrandir l'image



Au mouillage, nous sommes juste en face un village de pêcheurs que nous allons découvrir par la plage. La baignade et les pieds nus dans le sable, "on oublie !" beaucoup trop de pollution et c'est bien dommage...


Cliquez pour agrandir l'image
Cliquez pour agrandir l'image
Cliquez pour agrandir l'image






yet, coquillage que l'on utilise séché dans le tiep bou diène
Cliquez pour agrandir l'image
Cliquez pour agrandir l'image






Cliquez pour agrandir l'imageNotre petite vie s'installe au CVD. Je passe beaucoup trop de temps à mon goût avec la WIFI mais on ne voit pas le temps passer. Nous faisons connaissance avec Alain et Ute de Freya.
J'en profite pour faire les moustiquaires de tous les panneaux.
Je me laisse tenter par les tresses africaines. La fille de Boye, notre taximan a des doigts trés habiles, même les plus petites mêches de cheveux sont tressées mais c'est trés douloureux pendant presque deux heures. L'avantage, on a moins chaud ! Quinze jours plus tard, Domi passera une heure pour les défaire. Une énorme touffe de cheveux par terre et j'aurai la tête d'Edith Piaf vers la fin de sa vie ! Heureusement, après la douche, tout rentrera dans l'ordre !
Cliquez pour agrandir l'image
Cliquez pour agrandir l'image
Cliquez pour agrandir l'image
Cliquez pour agrandir l'image
Cliquez pour agrandir l'image
Cliquez pour agrandir l'image
Fatou, femme dangereuse !
la marchande de vêtements

Cliquez pour agrandir l'image

le lac rose

ou le lac Retba est la plus grande ressource de sel du pays. Les nombreux Sénégalais et Sénégalaises qui travaillent là-bas s'enduisent le corps chaque matin de beurre de karité pour ne pas être grillés par le sel du lac. Des pirogues entières ramènent le précieux minéral récolté par tonnes et le mettent en tas sur la plage afin de le vendre aux négociants de Dakar. Le lac s'étend sur une superficie d'environ 3km² à une trentaine de kilomètres à l'Est de Dakar. Peu profond (il n'excède nulle part une profondeur de 3 mètres), il n'est cependant pas en péril du fait notamment de sa proximité avec la mer et avec de nombreuses sources d'eau douce qui l'alimentent tant en sel qu'en eau.
La couleur rose du lac est due à une cyanobactérie, animal microscopique dont le lac est peuplé et qui fabrique un pigment rouge pour résister à la concentration de sel.




Cliquez pour agrandir l'image
Cliquez pour agrandir l'image
Cliquez pour agrandir l'image    

l'île de Gorée


  • Longue de 900 mètres sur 300 mètres de large environ,

  • classée Patrimoine Mondial de l'Humanité en 1978 par l'UNESCO, l'île symbolise à travers le monde "l'une des pages les plus douloureuses de l'humanité" : la traite négrière.

La très émouvante Maison des Esclaves, dernière des esclaveries de Gorée construite par les Hollandais en 1676
Cliquez pour agrandir l'image
Cliquez pour agrandir l'image
dernière porte que
franchissaient les esclaves ->





Cliquez pour agrandir l'image





Cliquez pour agrandir l'image
Cliquez pour agrandir l'image


les jolies rues colorées



Cliquez pour agrandir l'image


Cliquez pour agrandir l'image
Cliquez pour agrandir l'image



Cliquez pour agrandir l'image
Et puis le "grain de sable"... Le samedi 2 février, nous allons à la clinique La Madeleine de Dakar pour Domi. Le médecin diagnostique rapidement et nous conseille de rentrer au plus vite en France pour ôter la tumeur de 4 cm de la vessie. L'après midi, nous allons à l'aéroport pour acheter des billets. Un grand merci à Air Sénégal pour leur professionnalisme, rien à voir avec l'antenne Air France qui nous a tout simplement refusé la vente de billets ! Nous serons en France lundi matin, Jacques et Adrienne rentrent également dans leur famille. Le moral est au plus bas, nous devons laisser Daam dour deux mois. Dans quel état nous le retrouverons sachant que dans des eaux aussi polluées, il aura de grandes moustaches d'algues à notre retour...
Merci Sophie et Elodie de nous avoir organisé tous les rendez-vous pour cette opération avec le docteur Vannier.
L'opération se passe très bien mais Domi souffre beaucoup. Une dizaine de jours après, le verdict tombe : la tumeur était cancéreuse et il faudra un nouveau contrôle en juin.
Bien entendu, la famille et les amis étaient heureux de nous revoir, bonheur partagé bien sûr.
Cliquez pour agrandir l'image

Le retour !

Nous atterrissons à Dakar le 25 mars très tôt et dormons dans une chambre du CVD en attendant le lever du jour. Quelle joie d'apercevoir Daam dour au mouillage ! Mais lorsque nous arrivons à son bord, il n'a plus de bimini (taud de protection de soleil), ni de capote et des fientes d'oiseaux sont incrustées dans l'antidérapant du pont. Les jours qui suivront ne suffiront pas à le nettoyer,  même avec une bonne huile de coude. Les larmes nous montent aux yeux... Malgré avec loué les services d'Omar, un gardien,  avec le voilier Lambarena, c'est quand même dure à avaler surtout après nous avoir dit à plusieurs reprises au téléphone que les deux bateaux  étaient lavés tous les jours !
Cliquez pour agrandir l'imageNous retrouvons avec plaisir Mimi et Christian de Diamrek, Denis du Yannick. Nous ferons la connaissance de Jean Pierre et Lise de Carte Blanche qui nous rapporte de l'antifouling des Canaries (merci encore), de Jean Claude et Chantal de Chamicha, Bernard de Nadir et Julie et Yves de Cristal 2 avec qui nous passerons une très agréable soirée barbecue.
Domi ajoute deux panneaux solaires pour notre autonomie.
Et puis l'harmattan arrive, vent chargé de sable et réduisant la visibilité,  c'est lugubre. Les bateaux sont de plus en plus sales.
Terno, le plongeur, nous frotte la coque. C'est très difficile pour lui dans l'eau froide et en apnée mais une façon de gagner un peu sa vie.


Cliquez pour agrandir l'image
Mimi et Christian
Cliquez pour agrandir l'image
Lise et Jean Pierre
Cliquez pour agrandir l'image
de G à D, Jean Claude, Bernard,
Chantal, Julie et Yves
Cliquez pour agrandir l'image
Adrienne, Jacques et nous

Cliquez pour agrandir l'image


Cliquez pour agrandir l'image

N'Gor

Avant de rentrer en France fin mai, nous prenons le bateau à Ziguinchor (en Casamance) et en profitons pour visiter le village et la petite île de N'Gor à moins de 5 mn en pirogue. Quel bonheur de se baigner dans la mer toute propre !
Au retour de l'île, deux hommes se proposent de nous faire visiter leur village de N'Gor. Ils nous présentent le chef du village centenaire, sont fiers de nous montrer les pélicans apprivoisés sur lesquels Thalassa a fait un reportage. Le cimetière est particulier, entouré d'un mur, quelques gros baobabs sans feuilles et au sol, seulement des petits tas de sable plus ou moins gros, sans signe distinctif de richesse ni de religion.
Cliquez pour agrandir l'image
les pelicans apprivoisés



Cliquez pour agrandir l'image
Cliquez pour agrandir l'image
départ de Ziguinchor




                                              ... Il est tant maintenant de quitter Dakar pour le 
LE SINE SALOUM


DAKAR


mise à jour le jeudi 12 juillet 2012
site mis en ligne le 4 septembre 2008.
notre email daamdour@gmail.com